9 mai 2007
« Les gouvernements qui font une politique sociale de gauche ne peuvent qu'être approuvés par l'Eglise catholique », a déclaré le cardinal Tarcisio Bertone, numéro deux du Vatican. Lors d’un entretien avec l’hebdomadaire catholique italien « 30Giorni» (qui parait aussi en français, cf. www.30giorni.it/fr/), le cardinal secrétaire d4etat
"Si les gouvernements de gauche font +quelque chose de gauche+, s'ils se préoccupent de favoriser les classes les plus humbles, de répartir plus équitablement les terres (...), d'améliorer l'assistance sanitaire et le système éducatif, de mettre en oeuvre des politiques de l'emploi qui détournent les jeunes du trafic de la drogue et freinent le phénomène de l'émigration (...), ils ne peuvent que recueillir les applaudissements et la collaboration de l'Eglise", a-t-il souligné.
Le cardinal affirme que dans ces perspectives, ces gouvernements « ne peuvent que recueillir les applaudissements et la collaboration de l’Eglise ».
"L'Eglise n'oublie pas les pauvres. Elle ne peut le faire. Si elle le faisait elle irait à l'encontre de son fondateur Jésus", a relevé Mgr Bertone, bras droit du pape Benoît XVI.
Nous espérons encore une fois que l’Eglise va se battre pour la mise en place d’un système économique international plus juste demandé par l’enseignement social de l’Eglise, qui pourra accueillir les plus petits et les plus faible, contre le système de pillage qui est aujourd’hui en place.
"Si les gouvernements de gauche font +quelque chose de gauche+, s'ils se préoccupent de favoriser les classes les plus humbles, de répartir plus équitablement les terres (...), d'améliorer l'assistance sanitaire et le système éducatif, de mettre en oeuvre des politiques de l'emploi qui détournent les jeunes du trafic de la drogue et freinent le phénomène de l'émigration (...), ils ne peuvent que recueillir les applaudissements et la collaboration de l'Eglise", a-t-il souligné.
Le cardinal affirme que dans ces perspectives, ces gouvernements « ne peuvent que recueillir les applaudissements et la collaboration de l’Eglise ».
"L'Eglise n'oublie pas les pauvres. Elle ne peut le faire. Si elle le faisait elle irait à l'encontre de son fondateur Jésus", a relevé Mgr Bertone, bras droit du pape Benoît XVI.
Nous espérons encore une fois que l’Eglise va se battre pour la mise en place d’un système économique international plus juste demandé par l’enseignement social de l’Eglise, qui pourra accueillir les plus petits et les plus faible, contre le système de pillage qui est aujourd’hui en place.
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